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Le blog OK Club

Le blog OK Club

Le blog d'un club de plongée sous-marine Isèrois (FFESSM 14 38 0171)

Publié le par OK Club
Publié dans : #Médical

zen

Copie de l'article paru dans Scuba people "le Mag" n°35

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myopeQue vos yeux vieillissants ne vous permettent plus de distinguer les indications de l’ordinateur ou que vous soyez myope comme une vieille chouette, il existe des solutions pour profiter malgré tout pleinement de votre plongée. Nous avons demandé à Gaëtan Douillie, membre de scuba-people.com et opticien en Belgique, de nous aider à faire le point sur la question.

 

LOUPES OU CORRECTION PLUS COMPLEXE

Il faut commencer par distinguer ceux qui ont simplement besoin d’un petitverres souples coup de main de près de ceux qui ont un problème de vision plus complexe. Pour les premiers, la plupart des fabricants proposent sur certains modèles de masques des verres corrigés, de demi-dioptrie en demi-dioptrie. Il existe également de petites pastilles à positionner dans le masque, de la marque OPTX 20/20, que l’on peut se procurer sur internet pour une quinzaine de dollars. Il s’agit de pastilles de vision de près auto statiques en silicone souple repositionnables, qui peuvent être découpées au cutter.  « Evitez de les acheter chez votre opticien, précise Gaëtan d’Optisquare, nous avons les mêmes tarifs que vous et vous n’en sortirez donc pas gagnant ». Le problème est qu’elles ne tiennent pas très bien, et risquent de valser à chaque nettoyage de masque. Ces deux systèmes, masque avec loupes de série, et pastilles à coller, présentent en outre l’inconvénient de manquer de finesse : pas de centrage, pas de correction fine. Vous perdrez donc en confort visuel. Seul avantage, le prix.

LENTILLES JETABLES POUR VISION DE LOIN

Si votre problème concerne la vision de loin, vous pouvez tout à fait utiliser des lentilles souples jetables, et nombre de plongeurs adoptent cette solution.  Le gros avantage est que votre vue sera corrigée en permanence : vous n’aurez pas besoin de vous faire accompagner par un binôme secourable dans tous vos déplacements tant que vous n’aurez pas mis votre masque ! Les prix ont baissé, et le risque de perte, d’après ceux qui utilisent ce système, n’est pas énorme. Et avec un peu d’entraînement, même un vidage de masque ne pose plus de problème majeur. Mais ce type de lentille peut perdre en confort avec l’augmentation de la pression, et certains ne les supportent pas, ou ont une correction mal adaptée aux jetables. C’est là que l’opticien intervient.

NE JAMAIS FAIRE FAIRE DE PROGRESSIFS

Certains vous proposeront d’adapter des verres progressifs à votre masque. Et si l’idée de départ semble bonne, puisqu’elle permettrait de corriger tous vos soucis visuels, de près comme de loin, Gaëtan se montre très réservé : « je ne le conseille vraiment pas, généralement les opticiens qui le proposent ne sont pas plongeurs. Pour qu’ils fonctionnent bien, il faudrait une vision binoculaire parfaite, rendue difficile par le nez en silicone ; résultat, des zones floues très inconfortables ».

LES CLIPS, ATTENTION À LA BUÉE

On peut aussi imaginer des verres clipsés sur le masque, selon le même principe que les lunettes de soleil que l’on accroche sur ses lunettes de vue. Là encore, le principe semble bon mais la réalité est moins satisfaisante : de la buée se loge très facilement entre le masque et le verre, et l’on retourne à la case départ, flou artistique garanti. « J’en ai déjà fait, là encore pour des problèmes de vision de loin, reconnaît l’opticien, mais je ne le conseille pas ».

COLLER DES VERRES CORRECTEURS

Ce que recommande Optisquare est de coller des verres correcteurs dans le masque. Cette solution permet à la fois d’utiliser des demi-lunes pour la vision de près, des verres collés sur la partie supérieure pour la vision de loin, ou les deux si nécessaire : tous les défauts visuels peuvent ainsi être corrigés, myopie, hypermétropie, astigmatisme, presbytie, avec un centrage et une précision aussi importants que pour une paire de lunettes. « L’opération, précise Gaëtan, est possible sur n’importe quel masque, à un seul verre ou non, à partir du moment où il s’agit d’un vrai masque de plongée avec un verre de qualité. En utilisant une colle professionnelle qui ne jaunit pas, on obtient un excellent résultat définitif, pour moins de 65 euros par verre même pour une correction importante. »

OÙ LE FAIRE ?

Mais rares sont les opticiens qui le font eux-mêmes. En France, tous ou presque sous-traitent auprès de la maison Demetz, spécialiste de l’optique sportive, qui propose toute une gamme de masques de plongée et d’apnée, mais uniquement des modèles à deux verres. Vous risquez alors de payer relativement cher en fonction de la marge que se réservera le professionnel, n’hésitez donc pas à demander plusieurs devis.  Reste que certains vous proposeront de « faire passer » votre masque de plongée pour une paire de lunettes, ce qui vous permettra d’être au moins en partie remboursé. Mais cela ouvre un autre débat dans lequel nous ne rentrerons pas :  est-il acceptable de faire payer par la communauté un équipement destiné à nos loisirs ?

ET QU’EN EST-IL DES LOUPES ?

archeologiesousmarineEt puisque nous sommes dans l’optique, disons un mot des loupes : certains plongeurs passionnés de biologie marine, même s’ils ont une très bonne vue, les utilisent pour mieux observer nudibranches, crevettes, ou autres bestioles miniatures. Or un problème se pose : l’indice de réfraction d’une loupe classique étant pratiquement le même que celui de l’eau, son effet est pratiquement annulé. Il faut donc impérativement choisir une loupe de puissance importante pour conserver un grossissement une fois sous l’eau. Les petites loupes pliables à deux puissances cumulables semblent les plus efficaces.

 

Texte : Isabelle Croizeau

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Vie du Club

Ben oui ! Pas possible d'être des vôtres lors de la sortie de Bormes. J'étais très occupé à acquérir un nouveau galon, celui de "beau - papa".

Je ne vous fais pas languir plus : je l'ai réussi !!

1-Arrivée à la mairie 2-Devant la Mairie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4a-Entrée à la Mairie- La mariée

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Publié le par OK Club
Publié dans : #CR Sorties plongée

Une très belle météo qui aura permis de superbes plongées.

 

L'album

(Les photos sont de Franck)

DSCF2799

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Vie du Club

Il en a bavé tout le long de la saison : longueurs de bassin, mannequin, pédagogie et j'en passe et des meilleures. Hé bien çà a payé, Franck a empoché hier le brevet d'initiateur.


Sincères félicitations !!!

 

Basset-Franck

 

Il est maintenant P3 / E1.

 

Je ne dirai qu'un mot :

" Que d'arrosages lors du barbecue du 1er juillet ! "

 

 

NB : Le Who's who est à jour (trop fort le Ouaib masse terre)

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Calendrier et autres dates

noeud-mouchoir.jpg

 

Infos sur le BBQ du 1/7

 

jeudi 28/06 à 11h30

RV au centre M. Paul (local des retraités) pour récupérer tables / banc / BBQ

 

jeudi 28/06 à 20h00

dernier entrainement piscine de la saison

retour de tout le materiel   (aucun "stockage" hors club en periode de vacances)

dimanche 1/07

 Barbecue  de fin de saison à 12h30 au centre M. Paul

RV à 11h pour quelques volontaires pour mise en place

jeudi 06/09

reprise des entrainements  

 

vendredi 07/09 à 19h00

Réunion bureau / encadrement à la Ferme

Préparation de l'AG


vendredi 05/10 à 18h30

Assemblee Générale du club

Salle Edith Piaf à M. Paul

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Vie du Club

Et c'est le moins que l'on puisse dire !

Antony et Cédric, après beaucoup d'investissement et d'acharnement, ont réussi tous deux un brevet très exigant.

 

Antony est maintenant Moniteur Fédéral 1er degré (MF1 / E3)

antony

 

 

Cédric est maintenant Guide de palanquée (plongeur N4)

Jalaguier-Cédric1

 

Que peut'on rajouter ?

bouchons.jpg

Félicitations !!

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Ecologie-environnement

No comment !

 

biodégradabilité

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Matériel - technique

 

pas-content.jpg

 

Le club participe, le samedi 9/6, a une journée de promotion de notre activité au sein du Cté d'Entreprise EDF (qui nous subventionne généreusement). Nous assurerons des baptèmes gratuits toute la journée.

Direction donc, hier, le local de la piscine Aqualone pour récupérer les blocs et les gonfler, et ......

" Ben, y sont où les blocs du club ?? "

 

Nous serons ce soir à la Ferme à partir de 18h pour gonfler les quelques blocs qui restaient. Il serait sympa que les adhérents ayant encore du matériel chez eux suite aux dernières sorties le rapportent à cette occasion.


 

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Publié le par OK Club
Publié dans : #PUB

Vous ne pouvez pas vous passer de votre I-Phone ou de votre Galaxy S2, même lors des week-ends plongée ? L'entreperise Case Marine vous sauve car elle vient de créer un étui étanche à 10m pour ces 2 modèles de smartphone.

Clic pour leur site

casemarine

 

La démo sur Youtube

clic

archeologiesousmarine

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Publié le par OK Club
Publié dans : #Pédagogie - enseignement

Copie d'un article paru dans Scuba-people.com le Mag n°33

clic  

scuba-people

 

Si certains tirent de leur bloc à moitié plein à la remontée une gloriole un peu vaine, il est vrai que consommer peu est un avantage : cela permet surtout de prolonger le plaisir de la plongée, mais aussi d’assurer côté sécurité, sans crainte de la panne d’air. Voici quelques conseils pour quitter le camp des pompeurs.


 

UNE CONTRAINTE PHYSIOLOGIQUE

baptèmeA la base, nous ne sommes pas tous égaux. Et notre volume pulmonaire conditionne directement notre consommation. Chez un individu adulte, la quantité d’air nécessaire à chaque inspiration peut facilement varier du simple au double, voire plus. Certains petits poumons dépassent à peine les 3 litres, d’autres atteignent allègrement les 8 : et contre ça, vous ne pouvez rien. Par ailleurs, certains avancent le fait que les femmes, dont la masse graisseuse serait (en théorie en tout cas...) plus importante, consommeraient moins parce qu’elles doivent alimenter du gras et non des muscles, plus gourmands… Mais ceci étant posé, à volume pulmonaire égal, et pour des plongeurs du même sexe, tous ne consomment pas la même chose. Et chacun d’entre nous, selon son état de forme, son comportement sous l’eau, peut voir sa consommation varier selon les jours de façon spectaculaire.

PLONGER « NO STRESS »

Stress, fatigue, mauvaise forme générale, sont autant de facteurs qui vont contribuer à vous faire consommerbulles beaucoup d’air. On ne le dira jamais assez, on plonge si on a envie de plonger, et pas pour rentabiliser à tout prix son week-end ou sa croisière ! Prenez aussi le temps de vous équiper tranquillement, pas en panique en cherchant partout votre masque parce que les autres sont déjà à l’eau. Et prenez le temps de vous calmer aussi avant de descendre. Enfin, ne faites pas de votre consommation, même si de retour en surface quelques fanfarons se jettent sur vous pour vérifier « combien vous avez pompé », une obsession : le simple fait d’avoir peur de trop consommer risque de vous faire trop consommer !

ECONOMISER SES MOUVEMENTS

paliersUne fois au fond, soyez lent !  Inutile de palmer comme un fou, économisez au maximum votre énergie : moins vous palmerez et moins vous consommerez. Préférez l’amplitude et la souplesse, laissez vous glisser dans l’eau. Et si vous plongez avec des accros à la distance parcourue, obligez les à vous attendre, traînez. Evitez, dans le même sens, de lutter contre les éléments, en essayant désespérément par exemple d’aller à contre-courant. Tout effort se paye cash en terme de consommation.

AVOIR UN MATÉRIEL ADAPTÉ

Le matériel compte aussi. En premier lieu, c’est le choix du vêtement qui est important : si vous avez froid, vous allez très vite surconsommer, puisque votre organisme devra dépenser beaucoup d’énergie pour se maintenir à température. Il faut donc absolument prévoir une combinaison adaptée aux conditions, mais aussi à votre morphologie. Le réglage de votre détendeur peut également vous faire gagner de précieuses minutes de plongée. Il doit être le plus souple possible, afin que vous n’ayez pas d’effort à fournir à l’inspiration. De façon générale, vous devez aussi être le plus hydrodynamique possible : les photographes par exemple, qui doivent traîner de gros caissons et des flashs montés sur des bras articulés, partent forcément avec un handicap.

ATTENTION AU LESTAGE

Si vous êtes trop lesté, vous allez consommer beaucoup d’air, souvent bien plus que vos compagnonsbulles1 de plongée bien équilibrés, et il faudra à cause de vous écourter la ballade. D’une part, vous aurez à fournir pour vous déplacer de gros efforts, consommateurs d’air ; d’autre part, vous passerez la plongée à gonfler votre stab, puis à la vider parce que vous commencez à remonter dangereusement, et ainsi de suite. Idem si vous n’êtes pas assez lesté, puisque là encore vous aurez à fournir des efforts considérables pour vous maintenir à la bonne profondeur.

APPRENDRE À MIEUX RESPIRER

Il vous faut aussi apprendre à respirer. Et là encore, calme et décontraction doivent être les maîtres mots : une inspiration lente suivie d’une expiration profonde mais tranquille, avec éventuellement deux petites secondes de retenue entre deux cycles. Attention, il ne s’agit pas d’essayer de faire des apnées pour économiser son air, ce serait à la fois dangereux et inutile puisque vous vous rattraperiez immanquablement à l’inspiration suivante. Le but, comme avec le palmage, est de privilégier l’amplitude et le calme.

UTILISER LE POUMON-BALLAST

bulles2Dites vous que vous fonctionnez exactement comme un petit sous-marin : chassez l’air et videz les ballasts, vous coulez, remplissez les ballasts et vous remontez tranquillement. C’est ce que l’on appelle le poumon-ballast, base absolue de la plongée. Et ce n’est qu’en maîtrisant parfaitement cette technique, en sachant inspirer mais surtout expirer correctement, que vous pourrez acquérir une aisance parfaite. Et vous verrez que très vite, simplement en remplissant et en vidant vos poumons, vous serez capable de monter et descendre sans faire un mouvement : vous n’aurez donc ni à palmer, ni à gaspiller votre air en remplissant et vidant votre stab sans arrêt.

ET NE PAS GASPILLER INUTILEMENT

Enfin, faites la chasse aux petits gaspillages qui « bouffent » à chaque fois quelques litres, et mis bout à bout ont leur importance : par exemple, si vous attendez en surface le reste de la palanquée, évitez de respirer sur votre détendeu (NDLR:sauf en cas de mer formée). Evitez aussi de faire joujou avec votre stab en permanence si cela n’est pas nécessaire.

EN CONCLUSION

A priori, plus vous plongerez régulièrement et moins vous consommerez, même si certains sont toute leur vie plus gourmands que les autres malgré une pratique très régulière. Calme et « zénitude » sont les seules bonnes solutions, ce que l’on pourrait aussi tout simplement appeler l’aquaticité.  Et si vous êtes plutôt un gros consommateur, privilégiez les plongées à faible profondeur pour en profiter pleinement : mieux vaut remonter « rassasié » d’une longue plongée à 20 mètres qu’un peu frustré, bouteille vide, d’une incursion à 40 !

 

 

Texte : Isabelle Croizeau

Photos : Alexis Rosenfeld

 

 

 

NDLR

La diminution de votre consommation en air ne doit pas devenir une obsession. Consommez ce dont vous avez besoin, c'est la "chasse au gaspi" telle que décrite dans l'article qui, avec l'expérience, permet d'optimiser sa consommation.

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